Maintenant que vous connaissez mieux mon portrait de journaliste en herbe, laissez-moi vous raconter, sans filtre, ce que c’est que de vivre une année en alternance chez LyonCityCrunch.
Mes premiers pas dans l’univers des Crunchies
Quand on débarque chez CityCrunch en mode novice… on découvre rapidement que l’open space n’est pas des plus traditionnels, et qu’il est en réalité une jungle moderne avec des gadgets aussi fous que fascinants. Imaginez : un maneki-neko sur la cheminée, une boîte lumineuse qui commence avec un élégant “CityCrunch” mais se transforme en mots farfelus lors des apéros, des piles d’archives de magazines, et des photos polaroid si douteuses qu’on hésite à savoir s’il s’agit d’un bras, d’une tête, ou simplement d’un être humain flou. Ces photos sont généralement capturées lors des apéros ou des Love Boats (aucun jugement, j’en ai moi-même fait les frais).
On démarre le travail, et là… on est aussitôt attiré par des tentations irrésistibles : des petites brioches si divines qu’on se demande si elles n’ont pas été posées là pour nous faire culpabiliser de ne pas être allée courir la veille, des paquets de bonbons qui semblent vous appeler par votre prénom, et, pire encore, des invitations au restaurant (celles-là, c’est le piège ultime, surtout quand c’est votre boss qui vous tend la perche, impossible de dire non).
Après avoir affronté et pris conscience de tout cela, c’est à partir de ce moment que j’ai pu commencer à travailler…
Mon (vrai) travail chez CityCrunch
On rigole, on rigole, mais on bosse chez CityCrunch. C’est pour ça que je me dois de vous présenter ce que j’ai fait concrètement pendant ✨ cette année ✨ !
Ces derniers mois, en tant qu’assistante de mon rédacteur en chef Pierre m’ont fait gagner une sacrée dose de maturité. J’ai eu la chance d’écrire des articles sur diverses thématiques : actu, culture, food et même des domaines plus spécifiques comme celui du vin (hello la rubrique Super Canon. Je rédigeais principalement pour le site web de Lyon CityCrunch, mais il m’arrivait aussi d’écrire quelques articles pour Lyon FamilyCrunch (coucou si vous m’y avez déjà vue). Tous les deux mois, je participais à la rédaction des magazines et gérais en continu les réseaux sociaux (spoiler : c’était souvent moi derrière les réponses à vos commentaires).
Si vous avez entendu une petite voix sur les réels et micro-trottoirs ces derniers temps, c’était moi (et si vous avez été interrogé dans la rue par quelqu’un de CityCrunch, ben… coucou x2). J’étais aussi celle qui préparait vos petites newsletters du vendredi et dénichait les bons plans de la semaine et du week-end. En fin d’alternance, j’ai eu la chance de prendre en charge des missions plus costaudes, comme la rédaction du gros dossier dans le magazine (le guide du nouveau lyonnais, c’était bibi, avec un peu d’aide et de relecture quand même) et de jouer au rédacteur en chef quand Pierre prenait ses vacances (j’ai même planifié tous les articles de juillet, la classe !).
L’avantage de chez CityCrunch, c’est qu’on touche à tout, je faisais donc parfois partie des petites mains qui préparaient vos pochettes surprises, celles qui vous servaient des verres pendant le Love Boat, ou encore l’un des visages que vous avez croisés à différents événements et conférences de presse.
PS : Derrière le média, se cachent aussi Clémence et Guillaume du côté commercial, Pierre à la rédaction (et maintenant Coralie) ainsi que les stagiaires qui nous accompagnent tout au long de l’année dans les domaines de la communication, du commerce et de la rédaction.
Pourquoi CityCrunch va me manquer :
- Faire des apéros à chaque sortie de magazine, qui finissent immanquablement en blind-test ou karaoké sur des tubes des années 80 (c’est sûrement là qu’ils ont vraiment appris à me connaître… oups).
- Tester des restos en équipe, qui se concluent par “je n’ai plus de place, je vais rouler, et il me faut un café, d’urgence.”
- Manger les brioches de chez Aux Merveilleux de Fred, un matin sur trois (un piège savoureux, mais impitoyable, croyez-en mon expérience).
- Assister à des conférences de presse où j’ai pu côtoyer plein de gens géniaux (et prétendre savoir de quoi je parle).
- Avoir été invité à des événements/activités de folie (La La Land en Ciné-Concert, une journée à Walibi, tester l’expérience de chez Eclipso, manger des cookies chez La Fabrique du Cookie…).
- Finir la dernière soirée du Love Boat, à 4h du matin au Livestation D.I.Y. pour manger de délicieuses lasagnes (parce que, pourquoi pas ?).
- Entreprendre des projets super funs, comme le lancement des micro-trottoirs (où j’ai eu l’honneur de vous rencontrer, hé oui) et des micro-bureaux (pour vous présenter l’équipe).
- Travailler dans les sublimes locaux de Ballad Club (c’est le moment où je vous fais baver).
- Passer une année chez CityCrunch, c’est tout sauf la routine : j’ai pu me transformer tour à tour en journaliste, secrétaire de rédaction, rédac’ chef, community manager, et même parfois commerciale (un vrai couteau suisse).
- Bénéficier d’une ambiance de bureau carrément cool où on se raconte nos week-ends, les dernières nouveautés lyonnaises ou les derniers potins (personne n’y échappe).
- Aller au boulot en 15 minutes chrono, lunettes de soleil sur le nez (le rêve).
- [LE MEILLEUR POUR LA FIN] me coltiner mes trois super collègues : Clémence, Guillaume et Pierre, sans oublier les stagiaires adorables qui sont passées par là (big up à Clara, Hind et Anaïs !).
Bref, que du BONHEUR 🫶🏻 !
Pourquoi CityCrunch ne va pas me manquer (peut-être un peu quand même) :
- Aller au resto vraiment souvent (ma ligne, ma ligne, ma… oh, tant pis).
- Faire des apéros à chaque sortie de magazine ou pour n’importe quel autre occasion (bonjour mal de tête, et rebonjour à ma ligne…)
- Engloutir des brioches un matin sur trois (mes séances de running qui partent en brioche).
- Les blagues de Guillaume (je rigole, mais grâce à lui, je repars avec un stock inépuisable de blagues foireuses).
Le mot de la fin…
On ne va pas se mentir, travailler chez CityCrunch a été le job le plus cool que j’ai jamais eu. Grâce à cette année, j’ai découvert ce que ça fait de ne pas avoir l’impression de travailler quand on aime ce qu’on fait. Je souhaite à chacun de trouver un travail aussi épanouissant que celui que j’ai eu. Je souhaite également à tous de rencontrer des collègues aussi bienveillants que Clémence, Guillaume et Pierre, qui, en plus de m’avoir tant appris professionnellement, m’ont chacun apporté quelque chose sur le plan personnel. Je ne suis pas triste (un peu quand même), juste nostalgique de cette année, car je sais qu’ils ne seront jamais bien loin. J’ai choisi de partir pour quelques aventures parisiennes, mais qui sait ? Peut-être que Boyanna fera son grand retour très bientôt… Ce n’est pas un adieu, juste un au revoir. Vous allez me manquer, les chatons, je vous suis de loin. Je pars donc avec le titre honorifique de “Survivante du Bureau” et j’adresse tout mon courage à ma successeuse Coralie.
Bonne année à tous, soyez heureux ! À très vite !
1 commentaire
Je retiens surtout que l’alternante faisait les 3/4 du contenu City Crunch 😅 ça en dit long sur leur fonctionnement… et le nombre de stagiaires en 1 an. Woh