
démarche Eau futurE et organise pour son lancement un
Tribunal pour les Générations Futures, une conférence-spectacle
pour susciter le débat autour de ces grands enjeux d’avenir.
Le 22 mars prochain, c’est la Journée Mondiale de l’Eau. C’est aussi ce jour-là que se tiendra, à l’Université Catholique de Lyon, un Tribunal pour les Générations Futures qui se chargera de savoir s’il faut condamner les personnes et entreprises qui gaspillent l’eau.
Le gâchis d’eau sur le banc des accusés
Ce faux procès, organisé en collaboration avec le magazine Usbek & Rica, verra monter à la barre 3 témoins qui seront interrogés par le procureur et l’avocat de la défense. À la fin, le public, qui fait aussi office de jury, dira si oui ou non le gâchis d’eau mérite d’être condamné.
Vous l’aurez compris, le but de cet événement est d’aborder les enjeux et problématiques de demain sous une forme originale tout en invitant au débat et à la reflexion.
Une table ronde pour croire au futur
Le procès sera précédé d’une table ronde “Regards d’experts” sur le sujet suivant : “L’eau comme bien commun : et si les imaginaires ouvraient les possibles ?”. En effet, la question de l’imaginaire est un sujet qui revient de plus en plus souvent dans le débat sur l’écologie. Alors qu’on nous dépeint un avenir sombre, comment imaginer un futur désirable dans lequel se projeter ?
En résumé, le 22 mars sera placé sous le signe de l’eau et si ce sujet vous intéresse ou si vous êtes tout simplement curieux, rendez-vous à l’amphithéâtre Mérieux à l’Université Catholique de Lyon pour assister à ce procès aussi insolite qu’essentiel.
C’est de 19h à 21h (c’est aussi retransmis sur la chaine Youtube du Grand Lyon) et c’est GRATUIT. Il faut juste s’inscrire avant ICI.
Et si vous voulez en savoir plus sur la démarche Eau FuturE de la Métropole, c’est PAR LÀ.