C’est enfin les vacances ! J’veux dire : pour nous.
Demain nous publierons les tous derniers bons plans du week-end de la saison avant de baisser le rideau jusqu’à la rentrée, le 4 septembre. Je peux vous dire que l’excitation est à son comble dans l’équipe de Lyon CityCrunch car si on adore tester des nouveaux lieux et vous dénicher des trucs cools on kiffe tout autant NE RIEN FAIRE DU TOUT !
Bon en vrai il est possible qu’on passe faire coucou de temps en temps pour vous proposer un événement, quelques idées week-end (on vous prépare deux City guides : un sur le Sud de l’Angleterre, l’autre sur Varsovie).
On va pas partir sans se dire au revoir
Comme le veut la tradition, je me flanque d’un petit article pour jeter un regard en arrière sur la saison écoulée. Chaque année le discours est un peu le même et peut se résumer à “Wahou, vous êtes de plus en plus nombreux, le site marche de mieux en mieux, mais où tout ça s’arrêtera ?”.
Cette année, je vais vous parler d’autre chose. Certes c’est toujours Wahou, vous êtes toujours de plus en plus nombreux, le site cartonne autant qu’avant et on se demande encore où tout ça s’arrêtera. Mais derrière ce joli tableau se cachent aussi des choses un peu moins joyeuses.
Je dis souvent que CityCrunch est une super fusée qui nous dépasse un peu. Un site qui a réussi, sans trop qu’on sache comment, à se mettre en orbite dans la stratosphère du web et qui continue de s’envoler vers les étoiles sans qu’aucune ambition nous guide vers une quelconque destination.
Passée la surprise qu’a été le succès de CityCrunch, ce projet lancé pour s’amuser, on a tenté de reprendre le contrôle de la situation. On a mis un peu de temps, mais aujourd’hui on a réussi à prendre les commandes de cette fusée supersonique.
Nous voilà donc enfin maîtres du petit bolide et on arrive un peu mieux à gérer cette grosse aventure. Cependant tout n’est pas si simple. Plusieurs événements cette année nous on fait prendre conscience à quel point notre fusée bien que rapide et efficace était fragile. Un projet de lancement de CityCrunch dans une autre ville qui plante à la dernière minute, les aléas des ressources humaines, des gros soucis techniques sur le site, un manque cruel de temps pour faire les choses aussi bien qu’on aimerait le faire, un cambriolage, une inondation…
Bref, notre fusée est surtout un gros rafiot porté par des vents favorables mais que rien ne protège d’une avarie lourde conduisant tout le monde dans le vide intersidéral.
Nos prochaines missions
C’est donc à ça qu’on va cogiter durant notre petit break estival afin de mettre des choses en place dès la rentrée, afin qu’on devienne plus fort et plus costaud.
Ça passera d’abord par une refonte du site qui à force d’ajouts et de modifications est devenu très instable et qui se transforme de jour en jour en foutoir digne d’une chambre d’ado mal rangée. On espère pouvoir vous montrer tout ça en septembre.
Il faudra aussi qu’on s’organise et se professionnalise encore un peu plus. Je sais, c’est un vilain mot, mais on est convaincus que ce n’est pas incompatible avec notre côté décontracté.
C’est pourquoi il faudra qu’on continue de revendiquer notre coté SLOW BLOGGING. Chez CityCrunch on préférera toujours la qualité à la quantité. On estime plus intéressant de vous balancer un bon article par jour qu’un post médiocre toutes les heures.
Je sais bien qu’on fait parfois de la merde et je suis le premier frustré de ne pas pouvoir consacrer plus de temps à rendre nos contenus encore plus cool, beaux et agréables à lire. Mais il me semble pertinent à l’heure de l’infobésité et où la pub semble envahir le moindre recoin de nos écrans de continuer à peu publier et à considérer la publicité comme un moyen de vous proposer de nouvelles rubriques ou options plutôt que d’y voir une simple manne financière.
Et puis enfin notre dernière mission sera de trouver où on met le cap. Maintenant qu’on a réussi à prendre le contrôle de notre super fusée, on n’aura plus d’excuses pour continuer à se laisser porter par les vents stellaires sans véritable idée du parcours.
Voilà en gros nos devoirs de vacances et on espère qu’on pourra vous en dire plus, voire vous montrer des choses à la rentrée.
C’est le moment où on dit merci !
– Instant pression : il ne faut oublier personne –
Pour terminer une salve de remerciements :
MERCI à l’incroyable team de chroniqueurs. Toujours partants pour tester des lieux, boire l’apéro et visiter des villes à la basse saison (ping Anthony). On ne les choie pas autant qu’on voudrait ni autant qu’ils le méritent car ils sont l’essence même de notre petite fusée. Je m’incline face à temps de génialitude. Merci Clem ! Merci Carrie ! Merci Christina ! Merci Marlouzette ! Merci Jill ! Merci Elo ! Merci Lauloh ! Merci Anthony ! Merci Fab !
MERCI à l’équipage. C’est le noyau dur de cette aventure ! Milie, Guillaume et Bérangère veillent par leurs compétences hors du commun au bon déroulé du voyage. Tant d’abnégation est précieux pour notre survie ! Un grand merci aussi à Samy notre mécano en chef.
MERCI aux sponsors. Oui vous avez vu il y a quelques gros autocollants sur notre carlingue. Sans eux pas de carburant dans le moteur alors on tenait à remercier chaleureusement nos plus gros annonceurs : Aéroports de Lyon, Deliveroo, Ville de Lyon, Unibail, Vins d’Alsace… Et merci aussi à l’équipe de commerciaux de Spot et du Petit Bulletin qui s’occupent bien souvent de faire le plein à notre place 🙂
MERCI à nos 2 ports d’attache. Le super et génial Workloft, et tous les gens qui y habitent. C’est tellement cool de bosser en votre compagnie. Et le parfait et incroyablement beau Now Coworking. En attendant d’être assez riche pour prendre un bureau pour toute l’équipe, c’est toujours un plaisir de venir partager des moments avec les personnes présentes et ce d’autant plus que l’équipe de Now est toujours aux petits soins pour ses coworkeurs.
MERCI à nos stations de ravitaillement préférées. On ne survivrait pas sans les Banh Mi de Nam Sandwich, les shooters de la Faute aux Ours, les salades avec frites de la Fourmilière, les ****** de notre cantine secrète, les cafés serrés du Bistrot des Fauves et l’AMOUR INCOMMENSURBALE du LiveStation, le meilleur bar de la galaxie !
Et enfin, le meilleur pour la fin : MERCI à vous les chatons. On n’aura jamais assez d’un article entier pour vous remercier de l’aventure que vous nous permettez de vivre. Vous êtes très nombreux à nous suivre quotidiennement, à parler de CityCrunch à vos amis, à venir à nos événements, etc… Nous sommes ravis d’avoir autant de passagers dans notre petite fusée. J’espère que vous appréciez le voyage.
Allez, j’arrête là, il me reste encore des bons plans du week-end et une valise à préparer. Toute l’équipe de LCC se joint à moi pour vous envoyer le plus amour qu’il est possible à travers un article de blog et on vous souhaite de passer un bel été.
RDV le 4 septembre !
– Ceci était le 3000ème article publié sur LCC –
8 commentaires
Ah ouais 3000 billets ont donc été propulsés par vos soins depuis le début, bien joué ?
On vous souhaite une belle navigation interstellaire pour les 3000 prochains ?
Très bel été à vous les gens!
MERCI 🙂
Félicitations pour le travail accompli ! Je viens de m’installer dans cette belle région du Rhône (je crois qu’il faut dire “la plus belle de France” ?! 😉 ) et vos articles toujours enrichissants, drôles, frais, agréables à lire, m’ont permis une meilleure immersion ici. Hâte de tester quelques bons plans !
Et si vous cherchez du monde pour vous prêter main forte… je cherche une équipe sympa à rejoindre et je suis dispo – mon domaine c’est plutôt la communication 🙂 Bonnes vacances et bon cogitage !
Merci ! On réfléchi à ta proposition 🙂
profitez de vos vacances bien méritées et ce qui est de la mutation , c’est normal et nécessaire de toutes façons on attend donc la suite avec impatience ….
à très vite donc
ps: la pochette d’été est prévue ? sinon on aura celle de la rentrée ^^
Merci et OUI LA POCHETTE ARRIVE !
Bonnes vacances à vous tous , même si elles me paraissent studieuses … rester cool en toute occasion est le gage de la réussite du travail et …des vacances nécessaires …A bientôt donc !
MERCI !