Si vous nous suivez depuis un moment, vous n’êtes pas sans savoir qu’on adore les projets insolites.
Je ne sais pas si c’est l’effet de groupe ou l’alcool, mais on a une certaine capacité à pondre des idées un peu folles voire carrément débiles. Il faut croire qu’on n’arrive pas à se contenter d’avoir un webmagazine suivi par pas mal de monde… Le web c’est bien, mais la vraie vie c’est mieux. C’est sûrement pour ça qu’on adore les projets qui prennent corps ailleurs qu’en ligne.
Le projet fou du moment, qui nous occupe pas mal ces dernières semaines, n’est pas de nous. Rendons à César ce qui est à César… Ou plutôt à Marc ce qui est à Marc.
Lyon à la p(l)age
On a rencontré Marc dans l’espace de coworking où nous avons nos bureaux. Quand il nous a parlé de son projet, on l’a trouvé complètement dingue mais aussi parfaitement génial.
Son idée : installer sur les places et rues de Lyon, des plages de transats.
Dans la team CityCrunch, on se dit souvent qu’à Lyon, il ne manque que la mer… Alors on a eu très envie d’accompagner Marc dans son projet et de contribuer à apporter un peu de plage sur le bitume lyonnais. C’est comme ça qu’après quelques jours de discussion, on a fini par s’associer au projet et par devenir partie prenante de cette aventure osée.
Le principe de ces plages reposent sur 2 idées importantes:
> La première c’est qu’elles seront plus que des simples zones de transats. Nous voulons qu’elles soient des véritables lieux de vie avec des animations et une vraie ambiance de détente.
> La deuxième c’est qu’elles soient gratuites. L’objectif étant de trouver des annonceurs prêts à financer le projet à travers une visibilité sur les transats.
Un vrai challenge !
Vous vous en doutez, installer des zones de transats sur l’espace public ne se fait pas sans un accord de la Mairie. Même avec un concept bien travaillé, convaincre en haut lieu n’est pas chose facile.
Après plusieurs rendez-vous avec des gens importants, nous avons dû nous rendre à l’évidence : avant de pouvoir occuper de façon permanente certains secteurs de Lyon, il va falloir faire nos preuves.
On décide donc de changer de fusil d’épaule : avant de pouvoir vous proposer des zones de transats permanentes, nous allons mettre en place des zones de transats éphémères en se greffant à des événements ou en investissant des lieux privés accessibles au public.
Un première plage… avant beaucoup d’autres
Aujourd’hui, on est super contents de vous annoncer que la première plage mise en place par Les Transats s’étalera sur le quai Rambaud durant les Nuits Sonores et servira de quai d’embarquement d’un de nos autres projets : Love Beach / Love Boat.
D’autres lieux sont déjà à l’étude et nous espérons pouvoir vous annoncer quelques dates d’ici les prochains jours, mais on peut déjà vous dire que l’été lyonnais sera riche en transats.
Voilà vous en savez déjà un peu plus sur ce nouveau projet !
On a vraiment besoin de vous pour faire connaitre le projet et faire des premières plages éphémères des véritables succès afin de convaincre la Mairie de nous laisser par la suite exploiter des lieux de façon pérenne.
Pour en savoir plus sur le projet n’hésitez pas à consulter notre site web : www.les-transats.com
Pour suivre l’avancée du projet et être alerté des prochains lieux et dates, suivez Les Transats sur Facebook : www.facebook.com/lestransats.lyon/
4 commentaires
Des transats, mais aussi des poubelles et des cendriers svp ! Voir l’état des berges lorsqu’elles ont servi d’aire de jeu pendant une aprèm ensoleillée ou une soirée aux températures clémentes me fait vraiment mal au cœur…
Un espace où les gens respecteraient leurs voisins, sans les forcer à écouter leur musique ou à marcher dans leurs déchets…
En voilà une chouette idée, que je vais relayer avec plaisir!
Très bonne idée !! Ma colloc et moi-même avons d’ailleurs acheté des transats pour les sortir les jours ensoleillés et les mettre au bord de la Saône du côté de Confluence : espace très agréable le week-end et calme, beaucoup de promeneurs, peut-être un lieu à garder en tête pour votre projet… Bon courage !
Merci pour ton commentaire Laura. On a effectivement la Confluence et les bord de Saône en ligne de mire 🙂