On a pris nos billets d’avion pour Venise lundi 11 Novembre. Mercredi 13, une marée haute, nommée Acqua Alta, inondait la ville par 1,87 mètres de haut. 1,87m ! Du jamais vu depuis plus de 50 ans. On a foncé acheter palmes, tubas et autre matériel nécessaire à notre survie là-bas pour réussir à vous concocter un City Guide digne de ce nom.
Nous avions envie de vivre un moment en pleine immersion, nous allions être servies !
On vous emmène avec nous pour 3 jours de découverte de la ville dans une atmosphère très spéciale.
Lundi : Arrivée en bottes de pluie
16h30.
Ce que nous savions à notre arrivée ? L’eau avait considérablement baissé, la ville était à nouveau praticable et la plupart des lieux touristiques avaient été ré-ouverts, la place Saint Marc notamment, même si beaucoup d’établissements restaient fermés.
A notre arrivée (en bottes de pluie donc), on constate 2 choses :
- Les tréteaux surélevés sont encore en place, mais ils n’ont plus vraiment d’utilité.
- La ville est sublime malgré l’ambiance un peu spéciale
- Les arrêts photos/wahouuuu /contemplation des ponts seront très nombreux pendant le séjour
17h30.
C’est en discutant avec la gérante de l’hôtel, Michaela, qu’on se rend compte que tout ceci n’a pas été qu’un rêve et que les eaux ont fait des dégâts dans de nombreux établissements de la ville. Frigo renversé, imprimantes et matériel électrique hors service, moquettes foutues…
Après avoir dégusté le Prosecco offert par la maison (vin blanc pétillant typiquement italien), on file découvrir les premières adresses repérées.
19h00.
Premier stop à Osteria all’alba, un bar fréquenté exclusivement par des italiens à la déco punk et destroy. Avec des graffitis de partout sur les murs, un mini-bar où sont accoudés des habitués, quelques étudiants et surtout les spritz que nous commandons et qui nous arrivent dans des verres en plastiques, on est au moins sûr que le bar n’est pas fréquenté par les touristes.
Le spritz n’avait rien de transcendant, mais pour sa défense, il faisait froid, et ils étaient à 5 euros, soit la moitié du prix de ceux qu’on trouve souvent en France.
20h30.
La gérante nous avait conseillé Rossopomodoro pour déguster Pizzas et autres réjouissances italiennes, mais devant la devanture de l’établissement fermé et le grondement de plus en plus strident de nos estomacs, nous voilà dans l’obligation de nous rabattre sur un restaurant qui nous fait de l’oeil : Osteria Specchieri Venezia.
Nous voilà au chaud dans une salle presque vide. Sans surprise, à la suite de l’Acqua Alta, la plupart des établissements étaient déserts, impossible donc de juger un établissement par le fameux « il y a des italiens en terrasse, c’est bon signe, je le sens bien, on entre ici ».
On prend deux verres de vin, une pizza et des lasagnes qu’on partagera. La pizza est une vraie pizza italienne, avec peu d’ingrédients sur le dessus, une pâte fine, et de la sauce tomate maison. Elle rattrapera les lasagnes, pas tellement dignes de ce nom ! On s’arrêtera donc là pour le repas, le tiramisu attendra !
22h30.
En rentrant, on fait un arrêt à Osteria Da baco (si certains se demandent pourquoi Osteria est présents dans le nom de beaucoup d’établissements, c’est simplement car il désigne des lieux publics où l’on peut boire du vin et manger. Vous retrouvez donc de TRÈS nombreuses fois ce mot dans l’article). On commande 2 verres de vins rouge italiens : le fameux Chianti.
Un moment agréable dans un endroit préservé, dans son jus, à la déco typique.
23h49.
Sur le chemin du retour, on en profite pour faire un détour par la place Saint Marc, encore légèrement inondée mais totalement praticable ! Le lieu était désert et l’ambiance vraiment incroyable. On le conseille fortement à cette période de l’année.
Mardi : Découverte de la ville
9h.
On se lève de bonne heure pour partir à la découverte, de jour cette fois-ci, de cette ville dont il nous a fallu peu de temps pour en tomber amoureuses.
On commence par traverser l’un des 234 ponts de la journée (sans exagération) et nous voilà nez à nez avec l’un des gros clichés de la ville : les mariages !
Ici, des touristes chinois (la seule nationalité de touristes croisée durant notre séjour) vêtus de blanc (jusque là rien d’anormal) s’apprêtent à monter dans une gondole (on vous a prévenu, c’est cliché) accompagné par un mec en kway (il faisait froid).
Photos prises, on continue notre parcours à la recherche de quoi sustenter la partie de notre estomac qui n’a pas été remplie par le tiramisu abandonné de la veille.
10h30.
Nous voilà à E. Rosa Salva, une pâtisserie traditionnelle. Résultat : 2 cafés et 4 pâtisseries pour moins de 11 euros au total. Croissants remplis de crème, brioche à la pistache, et 2 autres spécialités non identifiées. Les pâtisseries sont bonnes, mais trèèèèès sucrées !
11h30.
On brave la pluie pour se rendre au centre commercial T Fondaco dei Tedeschi dont le rooftop, peu connu, permet d’avoir une vue sur toute la ville. On monte les escalators…
11h33.
Pour les redescendre aussitôt. Le rooftop était fermé à cause de la pluie. Mauvaise pioche !
On en profite pour visiter le centre commercial, transformé à l’approche de Noël : sapin illuminé, décoration artistique au plafond, guirlandes qui clignotent… Nos âmes d’enfants en ont tellement été touchées qu’elles nous ont poussé à reprendre un café au milieu du centre commercial.
12h30.
On part visiter la fameuse librairie Acqua Alta.
Il s’agit d’une librairie où livres et documents sont rangés dans des gondoles, des baignoires et autres éléments de déco étranges. Ici les livres sont au cœur de tout l’aménagement et se déplacer devient même compliqué. Des vidéos tournent en boucle, montrant les ravages de l’Acqua Alta, qui a détruit au fil des années des milliers d’ouvrages.
On se sent étrangement bien dans cet espace qui ne ressemble à aucun autre. Un escalier à l’extérieur, entièrement composé de livres, permet de monter apercevoir une vue sur un canal caché, situé à l’arrière. On a profité de ce moment pour également adopter un chaton, mascotte de la librairie.
13h17.
Après s’être assurées de réserver pour le prochain restaurant, on en profite en chemin pour faire un concours de gestion de GPS (Explication dans nos Tips et Astuces par ici) et des rues les plus petites.
13h33.
D’ailleurs en chemin, on en profite pour découvrir la rue la plus étroite d’Italie, de seulement… 53 cm de large (la rue).
14h.
Sur la recommandation de l’une d’entre vous (merci à toi, cœur avec les doigts), on se retrouve sur les chaises confortables de l’Osteria da Zucca, un restaurant typique.
La zucca voulant dire courge, on retrouve dans l’établissement des plats à base de cet ingrédient, mais aussi plein de plats qui arrivent dans les assiettes de nos voisins et nous donnent envie de commander la carte en entier. On commande un burrata à se damner, une part de lasagnes (en les espérant meilleures que le premier soir) et des pâtes traditionnelles, toujours à partager. Histoire de ne pas mourir de faim, on finit par une panacotta au caramel pour pouvoir gambader jusqu’à la fin de la journée. Le vin italien finit de nous confirmer que ce restaurant sera l’un de nos coups de cœur du séjour, et qu’il finira dans nos bonnes adresses, à retrouver dans notre article ici.
16h.
On file au Palais des Doges, pour visiter ce monument dont on a tant entendu parler.
On est assez impressionnées par la précision des tableaux au plafond et sur l’ensemble des murs et par la visite des anciennes prisons. On y passe bien 2h. On le conseille pour en apprendre plus sur l’histoire de Venise.
18h30.
On repasse par la place Saint Marc pour répondre aux défis de certains d’entre vous de tester l’étanchéité de nos bottes de pluie. On ne vous dit pas merci 😉
19h00.
Hop ! Direction le quartier de Castello en longeant les quais de la Riva Degli Schiavoni. Beaucoup de lumières le long des quais sont éteintes, les touristes se font rares et les bateaux sont les points de lumière les plus importants sur le chemin. Un moment inoubliable !
19h20. On tente à nouveau l’expérience dégustation de Spritz dans un bar secret. L’idée ? On a découvert ce mini-bar par hasard, dégusté notre Spritz (bien meilleur que le premier) au fond de la salle (minuscule), coincées entre un pot de peinture et les serpillières, vestiges des semaines passées. En sortant, on a voulu vous donner le nom de ce bar qui peut être sympa en début de soirée. Verdict : le bar n’avait pas de nom et n’apparaissait nul part sur google maps.
La question est encore d’actualité : s’agissait-t-il d’un bar secret ? D’un bar éphémère ? N’hésitez pas à nous éclairer si vous le retrouvez, il est situé à côté du bar Mio, tout près du parc Giuseppe Garibaldi.
19h50.
Sur vos recommandations, direction la Botigglia, un bar à vin/sandwicherie.
Une fois n’est pas coutume, on se retrouve dans un mini-bar à l’ambiance sans chichi, assises sur une table en comptoir. Le topo ? Des jambons italiens suspendus et un choix de vins italiens impressionnant. La carte dessinée à la craie indiquant la région de provenance des crus nous a aidé dans le choix final. Les verres de vin sont entre 3,50 et 9 euros, de quoi satisfaire tous les palais ! L’accueil est adorable, le choix des vins bien orienté : un sans-faute !
2 verres de vins et une planche de 3 fromages (Grana Panado, Comté et Ricotta) accompagnés de miel plus tard, on passe à la caisse : 16 euros au total ! Encore une adresse abordable dans une ville où l’on nous avait pourtant alerté sur les prix.
21h15.
On change de lieu. Direction Ai Do Draghi, un bar à cichetti, ces fameuses tapas version italiennes ! On décide de partager plusieurs saveurs: sandwich aux herbes et jambon cru italien, boulettes panées à la viande et tartine aubergines-parmesan. Au moment de commander nos verres de vin (les habitudes se prennent vite), nos yeux dérivent sur le « Hugo Mojito ». Ayant vu ce nom sur de nombreuses cartes des boissons depuis notre arrivée, et pour le bien de notre communauté, nous décidons de tester.
Cette boisson à base de Prosecco et de liqueur de fleurs de sureau mélangés à de l’eau gazeuse et de la menthe ressemble à un mojito en plus sucré et plus subtil en bouche.
La douceur des cocktails rattrapa l’ambiance de ce bar, encore une fois plutôt très trop calme.
Mercredi : On marche 17 kilomètres
9h.
Réveil sous notre fenêtre par une gondole et un chanteur italien. On est dans le cliché mais on en redemande !
10h.
Ce matin, direction le Café Florian. Un établissement recommandé par tous les sites et donnant sur la place Saint Marc. L’endroit est cosy, avec un petit côté salon de thé british.
Alors certes, le service est impeccable (quoi que pas très souriant), les plateaux en argent sont de mise et le thé de qualité. Ceci dit, à 10,50 euros le chocolat chaud et 11 euros le thé (11 euros !), c’était clairement dispensable. C’est à faire si vous aimez les ambiances feutrées et les déco traditionnelles, mais nous vous conseillons de ne pas y passer trop de temps.
10h30.
Nos boissons avalées et notre porte-monnaie encore en travers de la gorge, on part au pas de course pour cette journée particulièrement chargée.
10h43.
En route pour le musée Guggenheim, on tente le diable en commandant des pâtisseries en route. On ne s’arrêtera pas plus longtemps sur cette expérience. Ça nous apprendra.
11h.
Ayant réservé nos places à l’avance, nous avons pu visiter sans faire la queue au musée (à cette période-là, il n’y avait cependant presque personne). Si vous aimez l’art contemporain, on vous conseille cette expo. Si vous n’y êtes pas forcément sensible, le prix ne vaut selon nous pas la visite et surtout la taille de l’expo. Par contre, on a pu accéder à une terrasse sur le Grand Canal préservée de la vue de tous. Le meilleur moment de l’expo.
11h45.
Départ du musée pour le vaporetto qui nous emmènera jusqu’à Burano.
12h10.
On suit le GPS. On arrive à l’embarcation avec 20 Minutes d’avance. On est fières de nous.
12h11.
On se rend compte que ce n’est pas la bonne embarcation, et que pour accéder à la bonne, il nous faut traverser le canal à la nage.
12h13.
On court. Vite.
12h28.
On monte sur le vaporetto n°12 2 minutes avant le départ, direction Burano, une île à 30 minutes de bateau de Venise, spécialisée pour ses maisons colorées et ses fabrications en dentelle.
13h10. On arrive sur l’île de Burano, ce petit village de pêcheurs dont on a entendu du bien !
On s’attendait à des couleurs, mais là, c’est assez impressionnant !
Très peu de touristes, des maisons (fermées) multicolores, du silence à tous les coins de rue.
On vous laisse voyager en images.
13h32.
Après avoir constaté que les adresses que vous nous aviez recommandé étaient toutes fermées, nous nous sommes rabattues sur l’un des seuls restaurants ouverts de l’île : La trattoria da Romano. Les prix étant sensiblement plus élevés qu’à Venise, avec un choix restreints de restaurants, souvent pris d’assaut par les touristes, on vous conseille donc de manger avant votre venue. L’île n’est pas grande et vous en aurez fait le tour en quelques heures !
Nos gnocchis (des gno-gno, des qui-qui!) et nos pâtes aux fruits de mer étaient très bien travaillées, le service souriant et aux petits soins (en même temps, il y avait si peu de monde…).
Après quelques mots italiens/français échangés avec notre serveur, nous filons en direction d’un restaurant à la déco plus humble mais également conseillé par les supers lecteurs que vous êtes pour déguster un tiramisu.
14h47.
On trouve notre bonheur chez Suzo, petit resto avec des serveurs adorables chantant à tue-tête les chansons qui passaient à la radio en fond. Ça nous a égayé le repas !
Deux cafés et un tiramisu enfin digne de ce nom plus tard, on file continuer de découvrir ce charmant petit village hors du temps.
16h30.
On découvre par hasard, au coucher du soleil, une vue sublime. Les coordonnées et le plan se trouvent ci-dessous. Le spectacle était magique et complètement hors du temps.
17h.
Retour direction Venise.
18h15.
On retente une nouvelle fois la vue depuis le centre commercial T Fondaco dei Tedeschi.
Bonne nouvelle ! Le rooftop est à nouveau ouvert, accessible sur réservation gratuitement (par plage horaire de 15 minutes), directement via le site du centre commercial.
La vue de nuit est sublime, on aurait aimé avoir aussi le temps d’y retourner de jour.
Impossible cependant de prendre une photo digne de ce nom.
18h31.
On file découvrir la première adresse de la soirée : la cantina da mori !
Un petit établissement un peu caché, vide, avec chaudrons au plafond, ambiance tamisée et un choix de vins et de cicchettis qui donne envie. On partage quelques tapas à base de boulette à la sauce tomate maison épicée, de frittata, de jambon cru italien et autres réjouissances et quelques verres de vins pour faire passer tout ça.
Au bout d’1h, on sent qu’on dérange, l’établissement ne ferme pas tard et après les intempéries, les restaurateurs ont clairement envie de se reposer.
On quitte donc cet endroit à regret. On se sentait bien dans cette ambiance apaisée.
19h53.
Direction Vino Vero, l’une des adresses recommandées par de nombreux lecteurs.
L’ambiance est différente : plus moderne, plus jeune, plus branchée, moins traditionnelle.
Sans pour autant accueillir des hordes de fêtards déchaînés, l’endroit est tout de même plus animé. On s’installe en terrasse avec deux chicchettis et deux verres de vins rouge et rosés italien.
Là, on est sur un coup de cœur ! Les cicchettis sont vraiment délicieuses : la première est composée de burrata, chorizo et figue. La seconde de jambon cru italien et d’une couche de fromage fondant. On regrette de ne pas avoir commencé ici. Si nos estomacs étaient extensibles, on en aurait repris une fournée !
22h17.
On fait encore la fermeture du bar… Avant 22h30 ! On nous avait prévenu, Venise n’est pas un endroit réputé pour faire la fête. Mais on refuse de se laisser abattre.
22h30.
On file direction le Time Social Bar à la recherche de chaleur humaine. Et d’un bon cocktail.
On avait vu sur leur page Facebook qu’ils avaient été détruits par les eaux et avaient ré-ouverts depuis quelques jours. L’endroit était vide, assez calme, c’était donc encore loupé pour l’ambiance. A la place, on a trouvé du réconfort dans le sourire de la serveuse. Comme quoi les vénitiens gardent le sourire en toutes circonstances !
Je commande le cocktail The Great Lyon par pur amour pour notre ville de cœur, sans même regarder les ingrédients qui le compose. Un délice !
00h00.
Fin de la journée avec 16,6 km de marche au compteur.
Jeudi : Un tour de gondole et puis s’en va
9h.
En sortant de l’hôtel, on est surpris par le nombre d’italiens dans la rue, jusqu’ici barricadés chez eux.
Mission du jour : trouver l’oeuvre street-art de Banksy.
9h37.
En chemin, on croise une boulangerie. Enfin, une pâtisserie italienne quoi.
On retente, avec beaucoup de courage, un gâteau aux raisins secs. Il n’y avait pas que les raisins qui étaient secs. On décide d’arrêter de s’obstiner sur les pâtisseries italiennes. Certaines au citron sont réputés délicieuses, on a dû mal tomber. On reviendra.
10h16.
On trouve Banksy. Preuve en images ci-dessous.
11h00.
On avait réservé un tour en gondole à l’avance. Quitte à découvrir la ville, autant le faire depuis les canaux. Bien sûr, l’attraction est touristique, on est placées par numéro en fonction des bateaux.
On a cependant été agréablement surprises par la gentillesse du conducteur de l’embarcation et la durée de la balade. Nous avions 20 minutes de prévues, qui se sont transformées en 45 minutes. Depuis la place Saint Marc, nous avons longé les canaux cachés jusqu’à déboucher sur le grand canal en face de la Basilique Santa Maria della Salute.
Des centaines de gens faisaient la queue devant l’église. On comprendra ensuite que le 21 Novembre, les vénitiens se réunissent à l’occasion d’une fête nationale religieuse.
12h00.
On récupère les valises à l’hôtel, un dernier au revoir à notre ange gardien du séjour Michaela, et on file déguster des pizzas et focaccias à Farini, une chaîne de restauration connue pour être l’un des meilleurs rapports qualité-prix de l’île. A 3,80 euros la généreuse part de pizza et à partir de 2,50 euros la focaccia, on s’en partage 4, dont une à la pâte noire.
On mange pour moins de 9 euros chacune. C’est délicieux.
12h38.
Direction la Gelatoteca Suso pour une glace de départ. Il faut dire qu’avec le temps froid de notre séjour, nous repoussions chaque jour au lendemain cette expérience glacée. On goûte la célèbre saveur Stracciatella ainsi que la Peanut (cacahuètes). Quelle erreur… d’avoir autant attendu ! Ça ressemble aux snickers, aux chouchoux sur la plage, le tout mélangé à du caramel beurre salé. C’est une TUERIE ! On vous conseille l’adresse les yeux fermés.
13h00.
Direction l’aéroport, et clap de fin sur ce séjour dans une ville qui nous a séduit par son mystérieux charme.
Envie d’en savoir plus ?
4 commentaires
Merci énormément pour ce reportage génial !
Nous allons avec ma chérie du 18 au 23 août à Venise et nous cherchons un hôtel sympa.
Que pouvez vous nous conseiller ?
Norbert
Bonjour Norbert, merci beaucoup pour votre message !
Nous avons logé au Palazzo Orseolo et la gérante, Michaela, est vraiment adorable et pleine de bons conseils !
Ce n’est pas l’hôtel le moins cher durant la haute saison, mais durant la basse saison il était accessible et il est très bien situé (à 30 secondes de la place Saint Marc).
N’hésitez pas à comparer les prix et surtout, à réserver bien en avance !
Bon séjouuuur 🙂
Elodie
Bonjour,
Aucune information sur la cause de cette montée des eaux!
Des gens souffrent et vous , pour votre petit plaisir, vous prenez l’avion illico pour allez voir sur place
Aucune prise de conscience ! en continuant à prendre l’avion pour des trajets proches, vous contribuez au dérèglement climatique. Vraiment triste 🙁
Oui à un tourisme conscient et écologique.
Bonjour Hervé,
Nous précisons bien en début d’article que nous avions pris nos billets avant le début de la montée des eaux. Nous n’y sommes pas allés spécifiquement pour cette raison.
Nous précisons également dans l’article les dégâts causés par l’Acqua Alta.
Cet article est un Cityguide qui a pour but de montrer les richesses de cette ville splendide, dans le respect de ses habitants.
Belle journée !