En guise de premier article de la saison, on s’est dit qu’il serait peut-être sympa de vous en dire plus sur la philosophie qui anime l’équipe de CityCrunch…
Si vous nous lisez depuis un moment vous n’apprendrez sûrement pas grand chose, mais comme pas mal d’entre vous se sont mis à nous suivre pendant l’été, ça nous permet de faire les présentations.
Et puis c’est aussi l’occasion de mettre dans un seul article tous les trucs qu’on s’efforce de respecter au quotidien sans prendre le temps de vous en parler vraiment.
Alors hop ! Voici nos 8 commandements !
Du contenu original tu produiras
Tous les contenus du site sont faits maison. On ne va pas recopier des articles publiés ailleurs, des communiqués de presse ou des dépêches AFP. Les articles sont rédigés avec amour par nos chroniqueurs qui y mettent leur cœur, leur prose et leurs envies. La plupart des photos sont également faites par nos soins. Pas de banque d’images, ni de photos piquées sur Instagram.
Bref sur CityCrunch c’est du bon contenu local garanti sans pesticides !
En mode incognito tu resteras
CityCrunch teste la plupart des lieux de manière anonyme. Quand nous nous rendons dans un bar ou un restaurant nous ne nous signalons pas (ni à la réservation, ni en arrivant, ni en partant). Nous payons nos consommations et nos repas. Le lieu découvre que nous sommes venus lors de la publication de l’article. ll nous arrive cependant des tester certaines activités en étant invités. Nous le faisons uniquement quand on estime que le fait d’être identifié ne va pas biaiser l’expérience et qu’on vivra la même chose qu’un client lambda (par exemple, un Escape Game ne sera pas meilleur parce qu’on est invités). C’est pour ces raisons également qu’on évite les inaugurations et autres événements presse et blogueurs.
Enfin quand nous réalisons un article suite à une invitation, cela est toujours précisé.
Une fois par jour seulement tu publieras
Chez CityCrunch on est adeptes du Slow Blogging. Face à la guerre de l’attention que se livrent la plupart des médias en ligne en inondant la toile d’articles, nous préférons publier peu (5 à 6 articles par semaine, pas plus). Outre le fait que nous préférons la qualité à la quantité nous accordons une grande importance à ne pas saturer l’attention de nos lecteurs. La vie est trop courte pour la passer à lire des centaines d’articles médiocres !
Le confort de lecture tu privilégieras
Sur CityCrunch on se fait un honneur de bien vous accueillir. Vous ne trouverez donc pas sur notre site ni pop-up, ni habillage, ni interstitiel, ni vidéo à regarder avant de lire l’article. On ne vous coupera pas dans votre lecture pour vous inciter à nous suivre sur Facebook ou Instagram et on n’habillera pas notre site avec de vilaines pub clinquantes. Nos articles tiennent généralement sur 1 page et on ne vous demandera jamais de passer à la page suivante (après une petite coupure publicitaire) pour finir votre lecture.
Les fautes d’orthographe, tu éviteras
Non, on rigole (Mais promis, on va faire des efforts !).
Quand ce sera de la pub tu le diras
Toutes les opérations élaborées avec des marques, que ce soit de l’article publi-rédactionnel, des jeux concours ou une rubrique sponsorisée, seront toujours identifiées comme telles. Nous avons créé une mascotte (Pandi les Bons Tuyaux) dédiée à ce type de contenu. Donc dès que vous l’apercevez, vous savez ce qu’il en est…
C’est lui …
Tes lecteurs tu écouteras
Chez CityCurnch on sait que notre communauté de lecteurs est notre plus grande richesse. Il est donc primordial pour nous de répondre aux commentaires, de lire tous les messages reçus (nous n’avons malheureusement pas assez de temps pour répondre à tous) et tenons compte des remarques et suggestions. Et comme nos lecteurs sont du genre très sympa, on le fait avec plaisir !
Un web comme tu l’aimes tu feras
En fait nos commandement peuvent se résumer par ce dernier point : chez CityCrunch, on fabrique du web comme on l’aime. CityCrunch est né à la fois de l’envie de partager des découvertes, mais aussi de la nécessité de produire un type de contenu qui se fait rare sur le web. Bref, on imagine CityCrunch comme un webzine qu’on aimerait lire nous-mêmes et on espère qu’on s’en sort pas trop mal.
Voilà, il nous reste plus qu’à vous souhaiter un bon mois de septembre et à vous dire à demain pour un nouvel article !
8 commentaires
Manque : “De picoler, tu n’arrêteras pas” ?
Bonne rentrée les gens !
Mais non ! Il y a même des gens dans l’équipe qui ne boivent pas d’alcool (qui l’eut cru !)
Bravo…je vous suis avec plaisir.jo
Merci Josette !
Etant expatriée à Strasbourg depuis 1 an et demi, je suis triste de ne pas trouver ici un équivalent à LCC 🙁
Je n’avais jamais trop fait attention à ça mais le slow blogging, le fait maison, ça fait vraiment toute la différence!
Ce que j’apprécie aussi particulièrement chez vous (et ça pourrait faire 3 commandements de plus 🙂 ) c’est votre ligne éditoriale cohérente et homogène (ça part pas dans tous les sens comme chez certains, malgré la diversité des chroniqueurs), vous ne faites d’articles aux titres accrocheurs (pour ne pas dire putaclic), et quand vous faites un repost sur FB, c’est précisé d’entrée.
Bref vous l’aurez compris, même en n’étant plus lyonnaise, je reste une de vos plus grandes fan 🙂 Longue vie à LCC!
Merci pour ce chouette commentaire qui nous met une patate d’enfer ! Coeur avec les doigts !
Oui Lyon citycrunch tu t’en sors très bien ! Ton site est top tes articles nickel par contre dommage pour les fautes d’orthographe ou de grammaire, j’en ai d’ailleurs repéré une mais je la garderai pour moi ;). Bonne continuation !
Promis on va s’améliorer pour le fautes. D’ailleurs je tenais quand même à préciser qu’il y en a beaucoup moins qu’avant.
Bon, plus qu’à trouver cette foutue faute dans mon article !